La 'réalité' des rêves
J’ai toujours pensé que les rêves , si absurdes qu’ils paraissent cachent une partie de notre réalité profonde. J’ai senti cette nuit une sensation que jamais je n’ai éprouvé dans la réalité avec tant de réalisme, car personne ne s’est comporté avec moi avec cette froideur, ce calme sachant qu’il pouvait faire mal à une personne sensible.
Il s’agit d’une personne qui dirige un organisation qui prête bénévolement des services à des personnes en difficulté et à laquelle nous avons adhéré, mon fils et moi, et pour laquelle nous travaillons, bénévolement aussi, sans rien demander pour notre collaboration. Cette personne, assise de l’autre côté de la table où on est en train de parler normalement , laisse tomber tout à coup sur elle les deux carnets qui accréditent que nous appartenons à cette association, en me remerciant des services rendus. C’est qui me blesse profondément c’est cette froideur, qui n’exclut pas l’amitié, avec laquelle il agit.
Je vois tout, j’observe ce calme et je mets du temps à comprendre une réalité qui est pour moi d’une difficile compréhension , parce je me sens incapable d’agir de la sorte. Ce calcul, ce calme, cette froideur, deviennent pour moi complètement incompréhensibles . Mais peu à peu j’arrive , avec une douleur profonde, à me rendre à l’évidence et , comme d’habitude dans d’autres circonstances semblables , je cherche en moi en quoi j’ai pu être responsable/coupable de cette attitude. C’est une sensation à laquelle je suis habitué, chercher en moi la culpabilité, si minime qu’elle soit, pour justifier les réactions des autres. J’en trouve quelques unes, mais qui ne sont pas de vraies causes. Pour cela, mon moi ‘juge’, est assez habile.
À la fin je ressens un air de libération, parce que c’était une action qu’on faisait gratuitement qui prenait une partie de mon temps et ,qu'à partir de ce moment, je pourrai consacrer à moi. Ce sentiment de libération n’empêche pas de sentir la blessure considérée injuste. Un coup bas, un coup en pleine figure qu'on n’arrive pas à assimiler et que je ne comprendrai jamais.
Il s’agit d’une personne qui dirige un organisation qui prête bénévolement des services à des personnes en difficulté et à laquelle nous avons adhéré, mon fils et moi, et pour laquelle nous travaillons, bénévolement aussi, sans rien demander pour notre collaboration. Cette personne, assise de l’autre côté de la table où on est en train de parler normalement , laisse tomber tout à coup sur elle les deux carnets qui accréditent que nous appartenons à cette association, en me remerciant des services rendus. C’est qui me blesse profondément c’est cette froideur, qui n’exclut pas l’amitié, avec laquelle il agit.
Je vois tout, j’observe ce calme et je mets du temps à comprendre une réalité qui est pour moi d’une difficile compréhension , parce je me sens incapable d’agir de la sorte. Ce calcul, ce calme, cette froideur, deviennent pour moi complètement incompréhensibles . Mais peu à peu j’arrive , avec une douleur profonde, à me rendre à l’évidence et , comme d’habitude dans d’autres circonstances semblables , je cherche en moi en quoi j’ai pu être responsable/coupable de cette attitude. C’est une sensation à laquelle je suis habitué, chercher en moi la culpabilité, si minime qu’elle soit, pour justifier les réactions des autres. J’en trouve quelques unes, mais qui ne sont pas de vraies causes. Pour cela, mon moi ‘juge’, est assez habile.
À la fin je ressens un air de libération, parce que c’était une action qu’on faisait gratuitement qui prenait une partie de mon temps et ,qu'à partir de ce moment, je pourrai consacrer à moi. Ce sentiment de libération n’empêche pas de sentir la blessure considérée injuste. Un coup bas, un coup en pleine figure qu'on n’arrive pas à assimiler et que je ne comprendrai jamais.
Comentarios
El blog es para mí, algo más que un medio de comunicación con los amigos o curiosos que por aquí pasen, es una manera de echar fuera algunos demonios personales.
En realidad se trata de una sensación muy peculiar que sentí esta noche , cuando alguien en quien confías puede rechazarte fríamente.