Rosa Montero... desde Francia

Revisando mi correo, me llega "La lettre d'EVENE". Si leo bien soy uno de los 119955 suscriptores que tiene esta revista cultural. Me detengo en la entrevista que le hacen a Rosa Montero con motivo de la traducción al francés de su novela "La Fille du cannibale".

De la entrevista , no sé bien por qué, retengo este texto , que me hace pensar.

"C'est un roman d'initiation, pas au sens habituel, de l'enfance à la jeunesse, mais plus tardif, de la jeunesse à la maturité. C'est très difficile de reconstruire sa vie. On découvre notamment sa propre mort : jusque-là, la mort, c'est celle des autres. Maintenant il faut assumer, prendre conscience.

Une petite voix trotte dans notre tête et nous dit "Tu mourras, tu mourras, tu mourras". Sans compter que l'on perd sa jeunesse. La jeunesse ce n'est pas la chair ferme. La jeunesse, c'est être capable de penser que demain tu peux recommencer ta vie, jusqu'au jour où tu te dis : "Je ne peux plus, j'ai déjà ma vie."

Là tu as perdu ta jeunesse. Je voulais faire un roman sur cette énigme que Lucia doit résoudre."
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Es lo que he querido retener y una frase de su libro , también traducido, "La folle du logis" .


"
« Les écrivains écrivent peut-être pour cautériser à l'aide de mots les silences inconcevables et insupportables de l'enfance. »


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