Carta a Jean-Pierre Bérubé

Cher Jean-Pierre,

Permettez-moi de vous appeler comme ça, car il traduit mieux qu'un,"cher Monsieur", le sentiment que je ressens en vous écrivant ces quelques mots. Vous vous demandez, probablement, qui commence comme ça un message. Je suis "l'espagnol" qui à suivi vos modules sur la chanson, pendant la première quinzaine du mois d'août dernier à Besançon.

Je vous écris parce que je garde un excellent souvenir de ces quelques heures qu'on a chanté ensemble ou pour mieux dire, qu'on a éprouvé des émotions ensemble, en chantant ou en vous écoutant chanter. J'ai bien aimé ce module, qui n'était pas un module comme les autres, mais un moment privilégié pour que des gens de différents pays ressentent le plaisir de se sentir unis par la musique.

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J'ai ressenti cette émotion en vous écoutant chanter et jouer de la guitare, en écoutant la jeune femme japonaise qui mettait son cœur en chantant la douce mélodie venue de l'orient, ou quand les Irlandaises chantaient leur air irlandais, et tous les autres...

J'ai également aimé lire les paroles de vos chansons dans votre livre "Avant de recommencer à vivre". On sent que vous avez vraiment "vécu", la beauté de votre pays que vous aimez tant, l'amour pour les gens simples, la passion pour la musique, cette philosophie, bien sage, d'aimer tous les petits et intimes plaisirs qui nous donne la vie.

Je n'ai qu'un regret, ne pas pouvoir vous envoyer les photos que j'avais prises, le jour où l'on a fait "la manche", dans la Grand-Rue de Besançon. Lors d'un week-end passé à Paris, quelqu'un, jaloux des biens des autres, m'a volé mon appareil photo, quelque part entre les stations du Trocadéro et Bastille. Mon regret n'est pas tellement pour l'appareil, car on peut toujours le remplacer, mais vraiment pour beaucoup de photos que j'avais de mon séjour à Besançon et de ma visite à Paris. Je vous envoie les seules photos que j'ai pu sauver du "naufrage-volage" et que j'avais gardées avant "l'accident".

Vous devez savoir que votre "cours" ne s'est pas terminé pour moi. Chaque fois que je lis votre livre de poèmes ou que j'entends les paroles de vos chansons : « Je ne cherche pas, je trouve..." j'essaye de trouver le bonheur qu'il y peut avoir... "vraiment le bonheur se trouve tout en dedans de moi"

Très amicalement

Comentarios

Sylvia Otero ha dicho que…
J'ai aimé beaucoup ta lettre. Il a dû être un très grand plasir pour toi celui de pouvoir partager ces jours avec M. Bérubé et les autres personnes arrivées de l'étranger.

Maintenant que j'ai commencé à apprendre à chanter, j'ai appris aussi que les chansons et la musique font bouger beaucoup de sentiments.

La musique fait rejouir l'esprit.

Merci de partager ces sentiments avec moi.

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